Langue(s) et droit(s) Enjeux et paradoxes en France, L’Harmattan, 2025.
Sous la direction de Myriam Caressa et Christophe Doubovetzky
Avec une Introduction générale de Bertrand QUENTIN (Philosophe, UGE, LIPHA) : « De quelques problèmes philosophiques ouverts par les langues et le droit » et notamment des textes de Myriam CARESSA (droit privé et sciences criminelles, UPEC, LIPHA) : « Droit et LSF : une relation triangulaire » et Christophe DOUBOVETZKY (Droit public, UPEC, LIPHA) : « En jeux ! Langue(s) et sport(s), perspectives juridiques en France ».
Le français s’est progressivement imposé comme la langue du droit puis de la République. Il tend, néanmoins, dans certaines situations, à n’être qu’alternatif. Par ailleurs, la langue française du droit présente des caractéristiques propres, se manifestant notamment par son vocabulaire, qui muent avec les époques et les mœurs. Le droit à la langue et le droit de la langue évoluent dans un contexte national et international renouvelé. Si le droit à la langue française tout comme le droit du français soulèvent de nombreuses interrogations, il en va de même des autres langues de France : langues des signes, régionales ou minoritaires.
Le présent ouvrage, collectif et interdisciplinaire, dépassant les simples bilans et perspectives de l’Ordonnance de Villers-Cotterêts, de la loi Toubon et de la révision constitutionnelle relative aux langues régionales, analyse le renouveau de la dialectique langue(s) et droit(s) en France, dans un contexte en perpétuelle évolution.








































